Soutien à la création

Résidences 2025

Les Chiennes Nationales VIVRE ! Chroniques d’un mouvement

Résidence du 27 octobre au 31 octobre

VIVRE ! Chroniques d’un mouvement

La prochaine création des Chiennes Nationales, VIVRE ! Chroniques d’un mouvement, puise sa source dans le roman de l’autrice iranienne Chahdortt Djavann : "Et ces êtres sans pénis !"

À travers différentes chroniques aux formes artistiques multiples (lecture, arts visuels, danse, théâtre d’objet, etc.), la compagnie racontera une traversée littéraire autour d’une histoire d’aujourd’hui : un soulèvement iranien nommé Femme, Vie, Liberté. Ce mouvement a investi les rues d’Iran, puis s’est étendu au-delà des frontières, suite à l’assassinat de la jeune femme kurde Masha Amini, en septembre 2022, pour avoir mal porté son voile.

Les Chiennes Nationales tenteront de créer un asile poétique entre les murs de nos espaces publics pour raconter ce qui ne peut être dit là-bas. Une tentative encore et toujours.

Mathieu Fayette

Partenaires

Coproducteurs : L’Atelline, Scène conventionnée Art et création / Le Parapluie, Centre national des arts de la rue et de l’espace public / Les Ateliers Frappaz, Centre national des arts de la rue et de l’espace public / L’Atelier 231 Centre national des arts de la rue et de l’espace public.

Partenaires : Toulouse Métropole - Festival Marathon des Mots / L’Usine - Centre national des arts de la rue et de l’espace public / Espace Roguet – Département de la Haute-Garonne

"Ce que la vie signifie pour moi" - Aurillac (2022)
"Ce que la vie signifie pour moi" - Aurillac (2022)
Vincent Muteau

Les Chiennes Nationales

La compagnie Les Chiennes Nationales a été fondée en 2010 sous la direction artistique de Maïa Ricaud. Entre chaîne nationale et scène nationale, ce nom est un lapsus : l’emploi involontaire d’un mot qui fait rire, réagir ou s’offusquer. C’est exactement la fonction du théâtre. Et la rue sera leur terrain de jeu.

La littérature est le moteur des Chiennes Nationales, le point de départ de ce qui initie le partage. Prendre des romans comme matière première pour leurs spectacles ouvre tous les possibles quant à la forme finale.

Les représentations s’écrivent avec le public, dans une grande maladresse assumée, avec un certain amateurisme revendiqué : parce que c’est bien plus beau que le professionnalisme, et qu’il y a le mot amour dedans.

La compagnie n’existerait pas sans ses nombreuses collaborations artistiques, pensées autour d’une œuvre littéraire et de toutes les digressions qu’elle permet.