Soutien à la création

Résidences 2024

Jeanine Machine (Collectif) Le Pédé

Résidence du 11 mars au 15 mars

Le Pédé

Au milieu de l’espace public, un homme nous raconte les luttes qui ont fait l’histoire de la culture homosexuelle du 20ème siècle et participent à la culture queer d’aujourd’hui.

Il traverse le temps pour redonner vie aux pionnier-es des soulèvements sociaux
qui ont construit le mouvement. A travers une marche, qui s’apparente à celle des fiertés, il convie le public à un spectacle à mi-chemin entre une quête collective, un documentaire et une manifestation.

Parcourir ces luttes c’est une manière de se les réapproprier, de savoir d’où elles viennent afin de mieux comprendre où nous sommes. L’envie est d’identifier et de rendre visible les différentes minorités existantes dans ces luttes pour la liberté, et de tenter d’imaginer ensemble la convergence de ces combats. Et puisque les luttes naissent principalement dans la rue, c’est ici que le spectacle doit se jouer.

(c) Rachel Paty

Partenaires

Subventions : DRAC Auvergne Rhône-Alpes / Région Auvergne Rhône-Alpes / Préfet de la région Auvergne Rhône-Alpes, Prendre l’air – L’été culturel
Co-productions : Quelques p’Arts CNAREP, Boulieu-lès-Annonay (07), en partenariat avec Superstrat, Atelier de Fabrique artistique, Saint-Bonnet-le-Château (42) / Pronomade(s) en Haute-Garonne CNAREP, Encausse les Thermes (31) / Le Boulon CNAREP, Vieux-Condé (59) / Les Ateliers Frappaz CNAREP, Villeurbanne (69) / Le Moulin Fondu CNAREP, île-de-France, Garges-lès-Gonesse (95) / Théâtre de Givors – Festival Les Hommes Forts, Givors (69) / Rudeboy Crew, Le Bleymard (48) / La Vache qui rue, Moirans en Montagne (39) / La Laverie, Saint-Etienne (42), Atelier 231 CNAREP, Sotteville-lès-Rouen (76) / La Gare à Coulisses, Eurre (26)

(c) Rachel Paty

Jeanine Machine

Le collectif Jeanine Machine est né d’urgences. Celle de créer des spectacles en espace public qui mettent en jeu des sujets d’actualité. L’urgence de prendre des risques en amenant dans la rue des sujets sensibles. L’urgence d’écrire des spectacles qui mêlent intime et politique. L’envie de mettre en rue des pavés dans la marre, pour laisser émerger dans le tumulte urbain des moments de réflexion et de poésie. Le désir d’une écriture engagée en prise au réel.

Jeanine Machine a envie d’écrire des spectacles incisifs, déroutants et percutants, parce qu’on pense que c’est ce dont le monde à besoin.